Après son ouvrage majeur « Et si la maladie n'était pas un hasard » sorti en 2008, le Dr Thomas-Lamotte publie enfin la suite de ses travaux résultant de ses 40 années d'expérience en tant que médecin des hôpitaux et neurologue.
Ce que Sigmund Freud a montré (l'inconscient agissant à travers nos paroles, actes et rêves) le Dr Thomas-Lamotte nous prouve que notre inconscient régule aussi nos maladies, blessures et accidents selon des schèmas dont il expose les logiques, et cela afin de compenser des « non-dits ».
L'auteur développe avec des cas pratiques tout au long de son livre une nouvelle approche de la médecine et du malade qui, dans la très grande majorité des cas, est devenu souffrant à cause d'un conflit de séparation, de territoire ou de non-dits.
Et clairement, la lecture de ce livre nous enseigne infiniment plus sur nous-même en une semaine que ne pourraient le faire des années de psychanalyse.
Brillant, intelligent et logique. Le travail du Dr Thomas-Lamotte illustre parfaitement le « s'en rendre malade » de la langue française.
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Maladies abordées dans le livre par le Dr Lamotte
- acouphènes
- addictions
- algie vasculaire de la face
- allergie au gluten
- ampullome vatérien
- angiome,
- appendicite
- arthrite
- articulation sacro-iliaque
- articulé dentaire
- bartholinite
- bronches
- burn-out
- canal lombaire étroit
- cancer canalaire du sein
- cancer de l'estomac,
- cancer de l'Å“sophage
- cancer de vessie
- cancer du cerveau (glioblastome)
- cancer du col utérin
- cancer du côlon
- cancer du côlon
- cancer du larynx
- cancer du pancréas
- cancer du poumon
- cancer du rectum
- capsulite rétractile
- cardiomyopathie
- céphalées de tension
- cheville (entorse, fracture)
- cirrhose hépatique,
- claudication intermittente
- coarctation aortique
- crampe de l'écrivain
- crise d'épilepsie
- délire
- démence
- dépression
- désorientation temporo-spatiale
- diabète
- dissection artérielle
- DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge)
- doigt à ressaut
- douleurs
- dystonie de la guitare
- dystonie focale
- eczéma
- embolie pulmonaire
- embolies cardiaques
- endométriose
- épicondylite
- épistaxis
- fatigue chronique
- fausses couches
- féminité
- fesse,
- fibromyalgie
- fracture de côte
- fracture de Pouteau-Colles
- fracture du scaphoïde
- genou
- hanche
- hémispasme facial
- hémorragie cérébrale
- hémorroïdes
- hépatite
- hépatite
- hernie hiatale
- hernie inguinale,
- hypertension atérielle
- infarctus cérébral
- infarctus du myocarde
- infarctus du myocarde
- infection à colibacille
- infection à streptocoque
- infections nosocomiales
- kyste du sourcil
- kyste synovial
- leucémie
- lichen vulvaire
- lithiase biliaire
- lombo-sciatique
- luxation de l'épaule
- lymphome
- maladie d'Alzheimer
- maladie de Crohn
- maladie de Cushing
- maladie de Dupuytren
- maladie de Hirschprung
- maladie de Morton
- maladie de Parkinson,
- malformation cardiaque,
- malformation congénitale de l'oreille
- masculinité
- médulloblastome
- mélanome cutané
- méningiome
- méningite
- méno-métrorragies
- méralgie paresthésique
- métastases
- migraine
- mononucléose infectieuse
- naevus
- nécrose de la tête fémorale
- nerf cubital
- nerf médian
- nerf radial
- névralgie faciale
- névralgies cervico-brachiales (C6,C7)
- nodule hépatique
- otite purulente
- pancréatite
- paralysie faciale
- pathologie ovaire
- pathologie testicule
- peau
- péricardite
- phanères (poils, ongles,cheveux)
- phlébite
- phobie
- placenta praevia
- plèvre (mésothéliome)
- pneumonie
- pneumothorax
- poignet
- polyarthrite
- polyarthrite rhumatoïde
- prostate
- psoriasis
- pyélonéphrite
- rectocolite ulcéro-hémorragique
- reflux gastro-oesophagien
- reflux vésico-urétéral
- rétrécissement aortique
- sarcoïdose
- sarcome
- scarlatine,
- sciatique paralysante
- sclérose en plaques (SEP)
- sclérose latérale amyotrophique (SLA ou maladie de Charcot)
- scrupules
- sigmoïdite diverticulaire
- surdité
- syncope
- syndrome de Gougerot-Sjögren (sécheresse buccale et oculaire)
- syndrome de Ménière
- syndrome de Poland
- syndrome des jambes sans repos
- syndrome du canal carpien
- syndrome somatomorphe
- tendon d'Achille
- ténosynovite de De Quervain
- thrombophlébite cérébrale
- traumatisme crânien
- troubles de l'attention
- troubles de mémoire
- tumeur bénigne du cerveau (gliome, astrocytome, oligodendrogliome)
- tumeur de la thyroïde
- ulcère gastroduodénal
- valvulopathies
- vertiges
- zona
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« Le
corps doit contrôler le renouvellement des cellules d'où
l'idée que la tumeur est un ennemi juré qu'il faut
détruire et combattre avec la chirurgie, les rayons, la
chimiothérapie. Et comme il importe de maîtriser à
tout prix, les fourmis tentent d'imposer leurs croyances à
tous de façon véritablement tyrannique: vaccinations
obligatoires, asepsie rigoureuse, nourriture dite saine, biologie
normale, lutte contre la pollution.
Les
fourmis tentent d'occuper tous les postes de commandement pour
maîtriser la vie sociale: postes politiques, religieux,
scientifiques. Elles font la loi et la morale. Tout ça pour un
« premier mauvais souvenir » de la naissance,
le plus souvent totalement enfoui dans l'inconscient.
Et
pourtant, il n'y a pas à s'étonner des pétales
blancs qui volent dans la campagne au mois de mai. Les prés
sont remplis de boutons d'or et de pissenlits fleuris. Les pommiers
portent du gui ou du lichen. Leurs feuilles jaunissent à la
fin de l'été. Puis elles tombent.
On
appelle cela des phénomènes liés à la
biodiversité. Pourquoi décrire des mauvaises herbes,
des plantes parasites puisqu'elles ont leur utilité. Nous
vivons grâce à des microbes, heureusement beaucoup plus
nombreux que les cellules de notre corps. Ils sont indispensables à
la vie humaine: mais pour les chercheurs, qui les découvrent,
c'est forcément un danger à détruire ou tout au
moins à maîtriser ».
« Pour
la justice, un alibi (« ailleurs » en latin)
est un mode de défense d'une personne soupçonnée
d'un délit ou d'un crime, qui argumente de son innocence en
prétendant avoir été dans un autre lieu au
moment des faits reprochés. Pour
la médecine des mauvais souvenirs, la maladie est un l'alibi
construit en modifiant le corps après coup pour le rendre
symboliquement incapable d'être coupable. L'aveugle ne peut pas
avoir vu. Le bras paralysé ne peut pas avoir fait. La malade
bouillant de fièvre ne peut pas être en froid. Celui
qui tremble ne peut pas faire sans hésiter. Certains lecteurs
seront fascinés en découvrant que le symptôme a
un sens symbolique extrêmement précis, qu'il vient a
posteriori déculpabiliser le malade. C'est
cet alibi qui rétablit
l'équilibre psychique, malmené par un sentiment de
culpabilité. La plupart des médecins ne savent pas
qu'une maladie est, selon la terminologie psychanalytique, un
authentique lapsus du corps, un acte manqué de notre vie
biologique. Le
symptôme clinique, alibi a posteriori, dit de façon
symbolique une « culpabilité » très
précise d'où la nécessité d'apprendre à
connaître la symbolique de l'anatomie, de la physiologie
cellulaire, des symptômes cliniques, de l'histologie... des
processus pathologiques pour en comprendre le sens.».
« Selon
les médecins, il faudrait fumer pour ne pas avoir la maladie
de Parkinson ! Et aujourd'hui, de nombreux neurologues pensent
que la nicotine protège le cerveau. Effectivement,
rares sont les parkinsoniens qui fument ou qui ont fumé. Il
est également indiscutable que la nicotine a une action sur le
système nerveux, qu'elle peut stimuler et améliorer les
parkinsoniens et même, semble-t-il, les malades déments.
Mais cette façon de voir le tabagisme ne me convient pas.
D'ailleurs, je ne crois pas à une flambée de maladies
de Parkinson dans les années à venir, liée à
l'interdiction de fumer dans les lieux publics, privant les fumeurs
actifs et passifs de l'effet protecteur du tabac.
Est-ce
bien le tabac qui protège le système nerveux central ?
Dans le tabagisme, je vois moins le besoin de nicotine que, pour
certains, le besoin de se créer un espace fumeur, c'est-à-dire
un espace symbolique personnel qui tient les autres à une
certaine distance. Cela ne se fait pas de cracher sa fumée au
nez d'une personne ou de laisser sa cigarette fumer dans la figure
d'un interlocuteur. C'est même une provocation.
Si
les futurs parkinsoniens ne fument pas, c'est à mon avis parce
qu'ils ont besoin de la proximité des autres, ils ont besoin
de les inclure dans leur espace, besoin d'être proches de leur
interlocuteur. Il n'est pas concevable de fumer pour gêner
quelqu'un et le tenir à distance quand on veut de la
proximité. Si c'est ce besoin de proximité qui détourne
le futur parkinsonien du tabac, c'est vraisemblable que ce n'est pas
la nicotine qui protège de la maladie de Parkinson ».
~
1 ~
Introduction
à la médecine
des
« mauvais souvenirs »
Le
véritable voyage de découverte ne consiste pas à
chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux.
Marcel Proust
Après
la publication du livre Et
si la maladie n'était pas un hasard1,
il m'a fallu encore une dizaine d'années de recherches et
d'écoute des malades pour aboutir à la conclusion que
les maladies sont des manifestations symboliques qui surviennent au
réveil d'un mauvais souvenir enfoui dans l'inconscient. Elles
peuvent être de nature somatique ou psychique, venant compenser
un sentiment de culpabilité qui n'a jamais été
exprimé. Cette culpabilité est transmissible
d'inconscient à inconscient, notamment au sein d'une famille
ou dans l'inconscient collectif. Le symptôme d'un enfant peut
répondre à la dévalorisation d'un parent et
inversement. L'aveu du sentiment de culpabilité soulage et
permet d'affronter la réalité: il est susceptible
d'entraîner la guérison des symptômes du malade,
d'une façon véritablement « miraculeuse ».
Nous en verrons de multiples exemples.
La
médecine traditionnelle ne reconnaît aucune cause
directe de maladie alors que les statistiques lui fournissent la
preuve qu'il existe une foule de facteurs de risque. On
trouve deux
raisons à cette
méconnaissance: les médecins ne s'intéressent
pas systématiquement aux blessures de l'âme (problèmes
psychoaffectifs et moraux de leurs patients) qui sont à
l'origine de leurs maux. Ils ne connaissent ni la symbolique du corps
(organes, tissus), ni celle des processus pathologiques, ni les
règles de la compensation symbolique inconsciente qui
permettent de comprendre le sens et le moment des symptômes. Et
pourtant, voici un
siècle déjà, Georg-Walter
Groddeck (1866-1934) écrivait pour ses confrères: «
la maladie est un
symbole, l'expression d'un processus intérieur, un jeu de
théâtre du '' Ça ''
par lequel il annonce ce qu'il ne peut pas dire à l'aide de la
langue ».
On
peut cependant imaginer qu'un jour il sera possible de guérir
bien des maladies en les considérant pour ce qu'elles sont
depuis toujours: un alibi symbolique qui se constitue a posteriori
(au moment du réveil d'un mauvais souvenir) pour compenser le
sentiment de culpabilité du malade. Souvenons-nous du chanteur
Ray Charles qui est devenu progressivement et totalement aveugle vers
l'âge de 8 ans après avoir vu son petit frère se
noyer dans une lessiveuse. La cécité est bien un alibi
parfait. Aveugle, Ray Charles n'a pu voir cette noyade et se sentir
coupable de la mort de son jeune frère.
▶ Une
grand-mère prend en charge son petit-fils de 4 ans au début
des vacances (Toussaint) de l'école maternelle. Le dimanche
soir, il est fébrile, avec des douleurs sévères
au niveau des deux oreilles. La grand-mère trouve un médecin
qui confirme le diagnostic d'otite débutante bilatérale
vraisemblablement bactérienne (purulente). Une cavalcade
permet de trouver la pharmacie de garde qui délivre les
antibiotiques et la cortisone prescrits. Pour la nuit, la grand-mère
prend le petit-fils sous sa surveillance dans son lit. Quelques
heures plus tard, il dort paisiblement, apparemment sans fièvre
et sans douleur. Le lendemain, le médecin généraliste
constate la guérison parfaite des otites. Pourtant la
grand-mère a oublié de donner les médicaments.
Elle n'a pas osé l'avouer au médecin. En revanche, elle
avait parlé avec son petit-fils avant qu'il ne s'endorme.
Celui-ci lui avait confié les paroles blessantes d'une petite
fille de sa classe proférées juste avant la sortie...
▶ Émilie,
8 ans, va consulter un dentiste spécialisé en
orthodontie pour une malposition de ses dents. Elle est accompagnée
de sa maman. La photographie ci-dessous à gauche permet de
constater l'importance du symptôme.
Pour
le dentiste « normal », il faut lutter
contre le symptôme, c'est-à-dire presser sur les dents
déplacées et les forcer à se remettre en place
au fil du temps, grâce à des appareillages successifs.
Mais même si le traitement réussit, il n'est pas sûr
que les dents ne se re-déplacent pas une nouvelle fois. Car,
c'est tout au long de la vie que nos dents sont susceptibles de
bouger. Outre le côté astreignant des séances
chez le praticien orthodontiste, il y a le coût élevé
des soins (environ 3.000 euros), la gêne de l'appareillage et
l'éventuelle moquerie des petites camarades. Mais que ne
ferait-on pas pour retrouver un jour un beau sourire de jeune femme ?
(Photos
DR)
Pourquoi
ai-je choisi cet exemple très inhabituel de maladie avec un
symptôme qui est surtout gênant sur le plan esthétique ?
Parce que c'est un cas de figure qui montre bien toute l'utilité
de l'orthodontie pour corriger ces problèmes esthétiques,
mécaniques, et l'impuissance des moyens thérapeutiques
dits de médecines douces (Médecines Alternatives et
Complémentaires: acupuncture, homéopathie, ostéopathie
mais également toutes les thérapies annexes). L'apport
de la nourriture et la méthode Kouzmine, les huiles
essentielles, la gelée royale, les plantes sont en rapport
avec la mastication mais a priori pas utiles dans cette indication.
L'urinothérapie, l'hydrothérapie du colon,
l'utilisation des antibiotiques de façon chronique n'entrent
pas dans ce champ de pathologie. La naturopathie, le reiki, la
sophrologie, la psychologie aideraient peut-être à mieux
supporter la disgrâce et le mal-être qui en résulte
mais sans corriger l'articulé dentaire. À ma
connaissance, la démarche de la maman d'Émilie vers
l'orthodontiste, un allopathe classique, était la seule
envisageable.
« Une
dent contre toi » et l'heure du choc !
En
fait, pour débuter le traitement, le dentiste a proposé
un petit appareillage, simplement pour éviter le serrement des
mâchoires pendant la nuit. Surtout, dès cette première
consultation, le patricien a écouté très
attentivement les confidences de la maman d'Émilie portant sur
les conflits majeurs de sa fille avec ses parents. Une véritable
humiliation pour la maman de ne pas pouvoir gérer les troubles
du comportement de sa petite fille. Tandis qu'elle se confesse
quelques larmes lui viennent 
semaines plus tard, la
maman a une énorme surprise. En effet, un matin, elle observe
un changement radical du comportement de sa fille vis-à-vis
d'elle (changement positif: respect, amabilité, serviabilité).
Et surtout, elle a remarqué, après que sa fille lui ait
sourit,
une modification du positionnement de ses dents pendant la nuit
(photo
de droite).
L'amélioration
brutale, en une nuit, de l'articulé dentaire ne veut pas dire
que pendant les 4 semaines, il ne s'est rien passé. Il y a
forcément eu un remaniement osseux très progressif des
alvéoles dentaires qui a duré jusqu'à la
guérison apparente. Ce remaniement osseux préalable est
en effet indispensable pour que l'implantation des dents puisse
basculer aussi brutalement d'orientation en une seule nuit, en même
temps que le changement de caractère d'Émilie.
L'effet
confidence: une incroyable régression « spontanée »
du symptôme !
Cette
guérison paraît complètement inattendue pour un
partisan de la médecine traditionnelle, et peut-être
même inconcevable (« Et
si c'était un montage photographique ? »).
Pour moi, elle montre le pouvoir des mots sur les maux, le pouvoir de
l'esprit sur le corps. Les confidences de la maman en présence
de l'enfant ont suffi pour provoquer et le changement de caractère
de sa fille et, simultanément, la correction de son articulé
dentaire. Les dents impliquées sont effectivement symboliques
des relations parents-enfants. Leur position permet d'osciller
symboliquement entre agressivité (« montrer
les dents »)
et gentillesse (« sourire »).
À
l'instar de l'effet placebo où le symptôme du malade
s'améliore grâce à la croyance-confiance du
malade qu'il peut être guéri par le traitement proposé,
on peut décrire un effet
confidence sur le
symptôme qui est illustré par l'histoire d'Émilie.
Soulagé de sa culpabilité, le malade n'a plus besoin
d'alibi. La caractéristique N°1
de cet effet
confidence, c'est le résultat fulgurant totalement inattendu:
4
semaines contre 2
années au minimum d'orthodontie. L'allopathie a été
prise de vitesse pour le prix modique d'une consultation et d'un
petit appareillage. Dès que la « bonne »
confidence a été faite, le sujet ayant enfin affronté
la réalité qu'il refoulait dans son inconscient n'a
alors plus besoin de son symptôme compensatoire (ou de celui de
son enfant). Le processus de guérison débute. S'il
s'agit d'une pathologie purement fonctionnelle, sans lésions
des tissus, la guérison peut être immédiate. Cet
effet instantané est remarquable, par exemple, pour les
douleurs sine materia. Le sujet arrivé le bras en écharpe
repart libre, complètement guéri de son atroce douleur
après un échange de paroles.
La
2e caractéristique est que la souffrance morale et le symptôme
clinique disparaissent en même temps, comme un ballon de
baudruche qui se dégonfle. Il arrive que le sujet déchargé
de son fardeau ne se souvienne ni du symptôme ni de sa
souffrance ni même de l'intervention où il a fait sa
confidence.
La
3e caractéristique est l'aspect transgénérationnel
de cette guérison. Vous avez bien remarqué: ce sont les
confidences de la mère qui font guérir le corps et la
psyché de sa fille. Et l'inverse peut être également
vrai. Nous avons beau cacher nos culpabilités, nos
inconscients se racontent tout et ils produisent automatiquement
l'alibi nécessaire à chacun au moment opportun.
La
4e caractéristique est le lien spécifique entre le
symptôme et le conflit qui l'a généré. Il
existe une langue symbolique universelle qu'il convient de connaître
pour écouter « efficacement » un
malade en interprétant ses symptômes. Car, il est
indispensable que soit mis à jour un « certain »
événement et un « certain »
ressenti du sujet au moment de cet événement en rapport
avec le symptôme pour que le malade guérisse. Ce travail
de traduction des hiéroglyphes symptomatiques (le langage
symbolique) nécessite un apprentissage d'interprète.
Une
parenthèse doit être ouverte: nous sommes tellement
habitués à envisager la maladie comme un ennemi et à
lutter contre un symptôme que PEU DE GENS ONT CONSCIENCE qu'une
guérison véritable peut être liée à
une confidence, qu'il s'agisse du malade lui-même ou d'un
thérapeute. Supposons un instant que la maman d'Émilie
ait pris un rendez-vous chez n'importe quel autre thérapeute
et qu'elle y fait sa confidence en présence de sa fille, tout
comme elle l'a fait chez le dentiste. Le praticien en question risque
d'attribuer la guérison à sa pratique: magnétisme,
iridothérapie, réflexologie plantaire,
auriculothérapie, fascia thérapie, kinésiologie...
C'est seulement la confidence qui est indispensable, même à
n'importe quelle personne, du moment qu'elle inspire la confiance: un
prêtre, un ami, ou soi-même dans un travail
d'introspection honnête (se regarder sous un autre angle pour
mieux s'accueillir). Cet exemple de correction de l'articulé
dentaire sous l'effet de la confidence (un cas unique) est à
méditer longuement dans les chaumières... dans les
facultés de médecine... dans les laboratoires
scientifiques et pharmaceutiques... et à la Sécurité
Sociale. Mais quand on sait que, dans une enquête canadienne du
XXIe siècle, le médecin généraliste
québécois interrompt son malade en moyenne 18 secondes
après le début de la consultation, il ne faut pas être
étonné que le malade n'ait pas le temps de faire sa
confidence. Et le médecin n'aura pas la chance de voir la
guérison qu'il aurait appelée miraculeuse ou spontanée.
Dans
cet ouvrage, nous prendrons le temps de réfléchir pour
préciser: comment l'homme crée ses maladies et ses
malheurs, comment les éviter. Prenons le temps d'écouter:
l'homme sait dire: «Je suis Charlie » et plus
souvent: « C'est de ta faute », mais l'homme n'ose
pas dire: « C'est moi le coupable », « C'est
de ma faute », « Je n'ai pas osé ».
L'homme cache sa culpabilité (sa mauvaise conscience) dans
l'inconscient (personnel et/ou collectif). C'est pourquoi nous vivons
tous au « passé compensé » de nos
mauvais souvenirs mais aussi de tes mauvais souvenirs et de leurs
mauvais souvenirs. Malheureusement, personne ne le sait, et donc
personne n'en parle…
Dès
ce stade de présentation des maladies, certains comprendront
pourquoi, malgré les menaces, malgré les railleries ou
les sarcasmes de confrères, de psychologues ou de thérapeutes,
on ne me fera plus quitter le chemin de ce que j'appelle maintenant
la médecine
des mauvais souvenirs: cette rencontre où l'aveu de ce qui n'a
jamais été dit à personne peut apporter la
guérison.
~
2 ~
La
médecine classique
a
ses limites
«Il
est vrai que je n'ai pas très bonne opinion de la science ! »
Walter Georg
Groddeck2
Nous
connaissons tous dans notre entourage, dans notre famille, des
malades pour lesquels la médecine conventionnelle s'est
montrée totalement impuissante, n'épargnant pas aux
malades et à leurs proches, l'expérience d'une longue
agonie. Pour ma part, j'ai perdu un oncle et un cousin d'un cancer du
testicule, une tante d'un cancer du côlon qui s'est généralisé,
une grand-mère d'une démence, une sœur d'un
glioblastome (cancer du cerveau)... Malgré des recherches
phénoménales et des progrès considérables,
la médecine moderne conventionnelle propose des soins qui sont
loin d'apporter toujours la guérison (ne pas confondre avec
environ 50% de rémissions à 5 ans pour l'ensemble des
cancers de l'adulte).
Bien
sûr, outre les affections spontanément régressives,
la médecine classique soulage bien des symptômes avec
les chimiothérapies (traitement par des produits chimiques),
la chirurgie et autres prouesses technologiques. Elle permet aussi de
soigner au long cours bien des affections chroniques menaçantes
par leurs complications comme le diabète, l'hypertension
artérielle, les insuffisances d'un organe (insuffisance des
glandes endocrines, insuffisance rénale, insuffisance
respiratoire, insuffisance hépatique ou insuffisance
coronarienne), au besoin en greffant des organes sains aux malades,
voire un cœur artificiel ou en implantant des prothèses.
La médecine prend également en charge les douleurs
chroniques, les maladies psychiatriques...
Mais
soigner au long cours, ce n'est pas obtenir la guérison du
malade avec une interruption définitive de sa maladie réputée
chronique. Ce n'est pas non plus obtenir une rémission totale,
même si celle-ci est de longue durée, même si les
effets secondaires des traitements sont relativement bénins.
Les
dangers de la médecine
Il
ne faut pas se voiler la face. Les décisions du corps médical
ne sont pas toujours judicieuses, sans doute par manque de
connaissance, mais aussi par manque d'humilité et parfois
d'humanité. Des
histoires anciennes peuvent vous faire froid dans le dos. Mais avec
nos moyens modernes de diagnostic et de traitement, avec notre
système français de santé qualifié de
« meilleur
du monde »,
vous pensez que ces erreurs n'existent plus. Détrompez-vous.
Aujourd'hui, il est toujours risqué de se faire soigner en
attestent les récents scandales concernant le Médiator,
la Dépakine, les prothèses
PIP, les irradiations excessives... et même de venir à
l'hôpital, ne serait-ce que du fait des infections nosocomiales
dues à des bactéries résistantes aux
antibiotiques même les plus récents. Mais les
statistiques de ces accidents ne sont pas publiées
régulièrement comme le sont celles des accidents de la
route (souvent mois par mois).
Un
article du très sérieux du
Journal
of the American Medical Association3
classait au 3e
rang le nombre des maladies créées par les médecins
et par les médicaments aux États-Unis, après le
cancer et les accidents cardio-vasculaires, mais en excluant les
chimiothérapies... et autres traitements dangereux, trop
souvent mortels. En
France, le nombre d'événements indésirables
graves liés à notre médecine est tout aussi
inquiétant. Une étude4
réalisée en 2005 avait montré que le simple fait
de venir à l'hôpital, indépendamment de
l'affection présentée par le malade qui pouvait
elle-même être grave voire mortelle, a abouti à la
mort de 10.800 personnes et a provoqué plus de 500.000
maladies graves. Et nous avons la meilleure médecine du monde
( ?).
On comprend que
les malades et leurs familles soient de plus en plus tentés
par d'autres propositions, qu'ils essaient de se prendre en charge,
qu'ils choisissent de voir des praticiens qui donnent moins de
traitements agressifs et qui prennent leur temps pour écouter
le malade.
Une
avalanche de statistiques
C'est
grâce aux statistiques introduites dès la moitié
du XIXe siècle, qu'on a pu démontrer l'existence (ou
non) de très nombreuses corrélations entre des données
souvent très éparses. Mais en 2015, la médecine
normale ne connaît toujours pas la cause immédiate d'une
maladie, c'est-à-dire le pourquoi du déclenchement à
un moment donné, chez une personne donnée, d'une
pathologie donnée, malgré des mécanismes
physiopathologiques qui sont parfois relativement bien connus. Faute
de pouvoir trouver la cause directe des maladies, on accuse le
cholestérol, le tabac, le soleil, la pollution atmosphérique,
de tous les maux. Mais tout cela est superficiel. La cause, en
médecine, c'est l'ensemble des conditions qui doivent être
réunies pour qu'un symptôme se déclenche aussitôt
immanquablement. Et lorsqu'il y a tel effet, on doit toujours
retrouver telle cause (situation) unique.
Pour
être efficace, le médecin devrait trouver la cause qui a
déclenché ce qu'il observe, or
les
statistiques ne le permettent pas.
Dès 1865, Claude
Bernard mettait déjà en garde les médecins5.
D'une façon générale, « Il
faut admettre comme un axiome expérimental que, chez les êtres
vivants aussi bien que dans les corps bruts, les conditions
d'existence de tout phénomène sont déterminées
d'une manière absolue ... en d'autres termes, la condition
d'un phénomène une fois connue et remplie, le phénomène
doit se reproduire toujours et nécessairement, à la
volonté de l'expérimentateur. La négation de
cette proposition ne serait rien d'autre que la négation de la
science même ».
C'est clair !
« Les
médecins en général semblent croire qu'en
médecine il y a des lois élastiques et indéterminées.
Ce sont là des idées fausses qu'il faut faire
disparaître si l'on veut fonder la médecine
scientifique ».
Puis il explique: « Il
faut d'abord déterminer exactement les conditions de chaque
phénomène 
exactitude biologique, et sans cette première étude,
toutes les données numériques sont inexactes, et
d'autant plus inexactes qu'elles donnent des chiffres qui trompent et
en imposent par une fausse apparence d'exactitude ».
Et
il poursuit sur la statistique: «Quant
à la statistique, on lui fait jouer un grand rôle en
médecine, et dès lors elle constitue une question
médicale qu'il importe d'examiner ici... elle ne peut donner
qu'une probabilité, mais jamais une certitude... J'appliquerai
encore ce que je viens de dire à toutes les statistiques
faites pour connaître l'efficacité de certains remèdes
dans la guérison des maladies. Outre qu'on ne peut faire le
dénombrement des malades qui guérissent tout seuls,
malgré
le remède,
la statistique n'apprend absolument rien sur le mode d'action du
médicament ni sur le mécanisme de la guérison
chez ceux où le remède aurait
pu avoir une
action. ...
Jamais la
statistique n'a rien appris ni ne peut rien apprendre sur la nature
des phénomènes ».
Dixit le réputé Claude Bernard.
Les
résultats contradictoires
Même
s'il est évident pour tout le monde que certains cancers sont
nettement plus fréquents chez les fumeurs, on ne peut que
s'étonner de la contradiction apportée par les
résultats d'autres études scientifiques. Prenons par
exemple, les résultats
obtenus par le Dr Kissen6.
Il a comparé le risque de survenue d'un « cancer
du poumon »
chez les fumeurs, en fonction des habitudes de ces fumeurs qu'il a
divisés en 2
groupes. Certains faisaient habituellement une inhalation profonde de
la fumée de cigarette qui pénètre alors
jusqu'aux alvéoles pulmonaires tandis que d'autres se
contentaient habituellement de rejeter immédiatement la fumée
par le nez (ou par la bouche).
Les
résultats de ce travail sont indiscutables sur le plan
scientifique: les sujets qui inhalent profondément la fumée
font 50
fois... moins... de cancers du poumon que ceux qui crapotent en
rejetant immédiatement la fumée par le nez. Exactement
50
FOIS MOINS, nul
besoin d'introduire un calcul statistique sophistiqué pour
constater une telle différence. Moins de contact avec la fumée
du tabac et beaucoup plus de cancers. Étonnant non ! Ce
n'est pas tolérable dans notre monde moderne parti en guerre
contre le tabagisme. Qu'il est difficile de remettre en cause une
idée reçue, mais fausse, un vrai « prêt
à penser »
!
Autre
exemple de discordance
Les
statistiques montrent que le cancer du larynx touche surtout les
sujets adultes, essentiellement les hommes chez lesquels le tabagisme
est associé à un alcoolisme chronique. Dans la
population française, la fréquence relative de ce
cancer est évaluée à 2%.
Alors, pourquoi une étude ciblée sur le monde religieux
(réalisée par le Dr Moirot dans la seconde moitié
du XXe
siècle7)
a-t-elle montré que les religieuses
cloîtrées faisaient 4
fois plus souvent un cancer du larynx que la population globale de
France ? Doit-on en conclure que les Carmélites
fument et s'enivrent à longueur de journée ?
Les
experts de ces pathologies peuvent-ils fournir des explications
à ces faits ? Malheureusement, ils n'en ont pas. Alors,
ils mettent aux oubliettes les publications gênantes
lorsqu'elles existent et le comité scientifique d'une revue
est chargé de censurer la proposition d'un article
éventuellement gênant. Le Dr Moirot a perdu ses amis
scientifiques le jour où il a voulu publier ces résultats.
Il a dû les éditer à ses frais. Et que dire de
cette statistique ? Depuis 30 ans, la lutte contre le tabac a
porté ses fruits aux États-Unis. Une diminution
sensible du nombre des fumeurs (20%) s'est accompagnée d'une
augmentation des cancers des fumeurs de près de 30%. Mais
c'est toujours le tabac qui en est la cause.
Soleil
et mélanome: la piste symbolique
Pourquoi
ces méprises et cette ignorance des chercheurs. Nous allons
voir dans ce livre qu'il existe une raison qui paraît
étonnamment simple: les chercheurs savent que le soleil est un
astre émettant un rayonnement reçu par la peau du corps
et provoquant le bronzage mais ils n'ont pas réalisé
que le soleil est également un symbole
très prégnant pour notre cerveau: celui du père.
Les résultats
statistiques sont grossièrement « exacts »,
mais l'interprétation des chercheurs est totalement fausse.
Le
mélanome est bien lié à l'exposition solaire.
Mais pas à l'exposition directe. Le soleil est bien un facteur
de risque pour la survenue d'un mélanome malin mais uniquement
grâce à (ou à cause de) sa fonction symbolique.
Le soleil est dans les cieux tout comme « notre
père qui est aux cieux ».
Tout le monde devrait savoir que le soleil est le symbole du père,
tout comme la terre est le symbole de la mère (Gaïa).
Pour
moi, médecin des mauvais souvenirs, une femme qui aime se
faire bronzer, c'est avant tout une femme qui, sans en prendre
conscience, a encore besoin d'un père très chaleureux,
pour compenser celui qu'elle n'a pas eu à un moment donné
de sa vie. Un homme qui fait un mélanome, c'est un homme qui,
à un moment donné de sa vie, a besoin de son père.
La
prolifération mélanique à un endroit donné
du corps fait comme s'il avait reçu un coup de soleil à
cet endroit, c'est-à-dire comme si son « père-soleil »
avait été très présent à cet
endroit du corps symbolique.
▶ Une
secrétaire a une aventure avec son patron. Celui-ci refuse de
reconnaître l'enfant qui naît. Je le sais déjà.
« Comment
le savez-vous, docteur Thomas-Lamotte ? ».
« Je ne
suis pas voyant mais observateur.
C'est votre enfant
qui me l'a dit ».
« Mais »
réplique-t-elle
« il n'a
pas ouvert la bouche ! ».
Je pointe alors le doigt sur le nævus de l'avant-bras droit de
son fils, juste au-dessous du coude, l'articulation « symbolique
de l'acception ».
Symboliquement, grâce à ce nævus, le père a
accepté de vivre en couple avec la secrétaire et son
enfant. Sans connaissance de la symbolique, les chercheurs accusent
le soleil alors qu'ils savent pertinemment qu'il ne s'agit que d'un
simple facteur de risque.
Il
suffit d'interroger les personnes sur ce point précis, souvent
avec insistance, pour le confirmer. Mais encore faudrait-il penser à
les interroger. Avec l'habitude, non seulement, on va trouver ce
besoin de soleil qui donne symboliquement le contact paternel
chaleureux mais on trouve souvent, dans la vie de la personne, les
racines très profondes et très anciennes de ce besoin
de soleil. Pour les trouver dans 100% des cas, il suffit de les
chercher.
▶ Prenons
le cas d'un couple qui se trouve en conflit pour les vacances. La
femme a besoin du soleil intense au bord de la mer et son mari en a
horreur. Ils ont finalement trouvé un compromis en passant
leurs vacances aux Antilles. Le mari fait de la plongée
sous-marine tout habillé pour se protéger du soleil et
la femme reste sur la plage à se bronzer. Il faut maintenant
oser aller chercher les racines infantiles de ces goûts, de
véritables besoins. Que s'est-il passé à la
naissance de chacun d'eux ? Quel événement a
laissé une empreinte assez indélébile par
rapport au soleil-père pour provoquer un besoin de
compensation si différent chez chacun d'eux ? C'est
presque trop simple. Le mari a été mis au monde par son
propre père médecin qui, dans l'émotion, lui a
tordu le cou en tournant la tête dans le mauvais sens ! Un
premier contact extrêmement douloureux avec un père un
peu brutal, expérience de brutalité qui s'est
renouvelée par la suite au cours de l'enfance. Un père
(= le soleil) à fuir dans la réalité ! Pour
la naissance de la femme, l'accoucheur en difficulté a demandé
au père, s'il devait sacrifier l'enfant ou la mère si
la situation venait à s'aggraver. Le père a choisi de
sacrifier l'enfant… À la suite de ces incidents de
naissance qui ont laissé des traces indélébiles
chez la mère et chez son enfant (voir
notamment les travaux de Konrad Lorenz), cet homme et cette femme ont
établi avec le soleil « père »
un lien symbolique qui contrebalance (compense) inconsciemment leurs
expériences de souffrance de la naissance. Mais le
raisonnement doit se poursuivre en langage symbolique. L'eau et par
extension la mer sont les symboles de la mère qui donne
naissance, après la rupture de la poche des eaux. L'homme doit
se protéger de son père. En pêche sous-marine,
l'homme tout habillé reste symboliquement dans la poche des
eaux et donc à l'abri du contact brutal avec son père
au moment de la naissance. Et sa femme sur la plage, donc hors de la
poche des eaux représentée par la mer, est bien
vivante, née sans mourir sacrifiée.
Symboliquement,
elle a un père qui lui fait un accueil post-natal
chaud-chaleureux qui compense la condamnation à mort prévue
avec le gynécologue.
(SUITE DANS LE LIVRE)
HRM-BUINTERPRET
24,90 €
1
- Introduction à la
médecine des mauvais souvenirs………………………….9
2
- La
médecine
classique
a ses limites………………………………………..15
3
- Les médecins observateurs se sont déjà aperçus
de l'impact d'un vécu sur le
corps……………………………………………………………………..25
4
- Convertir le symptôme en souffrance inavouée………………………...….39
5
- Rémissions spontanées de cancers : renvoyés
chez eux pour mourir, ils résistent au dogme
médical………………………………………………...45
6
- Et si nous regardions définitivement la maladie d'un autre
œil…………....55
7
- La Symbolique Inconsciente………………………………………...……63
8
- Les compensations familiales : la maladie d'un enfant n'est
certainement pas un hasard………………………………………………………………..80
9
- Le corps humain dans le temps (les repères spatiaux
temporels)………..…87
10
- Le protocole pour traquer la souffrance à la manière
d'une enquête policière…………………………………………………………….……….95
11
- Le corps symbolique de la tête aux pieds……………………………....131
La
tête…………………………………………….………..134
Le
cou……………………………………………………....144
Le
tronc……………………………………………………..145
Les
bras………………………………………………….….145
Membres
inférieurs……………………………………….....157
12
- Symbolisme de quelques organes……………………………………....165
Rhumatologie…………………………………….………....165
Le
tube digestif……………………………………………..166
Le
foie……………………………………………………....172
Le
pancréas…………………………………………………174
Dermatologie……………………………………………….175
Appareil
respiratoire………………………………………...178
Reins
et urologie………………………………………….…179
Gynécologie…………………………………………………180
Le
cœur……………………………………………………..182
Le
sang et le système immunitaire…………………………...186
13
- Le cerveau stratégique, ce cerveau qui nous rend
malade……………….188
14
- La lecture du scanner cérébral………………………………………….195
15
- Les traumatismes crâniens……………………………………………..208
16
- Les tumeurs cérébrales primitives…………………………………..….214
17
- Les infarctus cérébraux……………………………………………..….220
18
- Maladies dégénératives du
cerveau………………………………….….225
19
- Le portrait-robot dans la démence : oublier quand la
séparation est devenue intolérable……………………………………………………………..230
20
- La maladie de Parkinson : une stratégie
malheureuse………………….266
3
Le N°
284 du 26 juillet 2000 a établi
que la 3e cause de mortalité, aux États-Unis, était
"les médecins et la
pharmacie" (effets mortels des
traitements et médicaments): 250.000 morts par an, sur la
seule prise en compte des malades hospitalisés.
4
En 2005, l'enquête ENEIS (Étude nationale sur les
événements indésirables graves liés aux
soins, études et résultats) du ministère
des Affaires sociales, « a évalué entre
500.000 et 700.000 le nombre ''d'événements
indésirables'' graves annuels, qui
causeraient au moins 10.800 décès par an ».
5
Dans son Introduction à l'étude de la médecine
expérimentale.
6
Reprenant les travaux de Doll et Hill, de Schwarz et Spicer publiés
dans le British Medical Journal. Il était alors directeur du
département de recherche psychosomatique à Glasgow.
7
Michel Moirot, Origine des cancers, Les Lettres Libres, Paris
1985.